Paroles de coopérateur : Alain
Après une carrière d’employé de banque, Alain Delens a décidé de devenir coopérateur chez Crédal en investissant une partie de ses économies. Rencontre avec un spécialiste de la finance qui n’a cessé de s’engager socialement durant toute sa vie.
Vous êtes récemment retraité, quel a été votre parcours professionnel auparavant ?
À la suite de ma formation universitaire en sciences du travail, j’ai rejoint le secteur bancaire. J’y ai occupé plusieurs postes, dont une fonction commerciale dédiée au secteur non marchand. Je gérais un portefeuille de clients dans des secteurs variés (handicap, enseignement, santé…). Au-delà de leur proposer des crédits et des placements, je les conseillais et les aidais à se mettre en relation dans une logique de circularité.
Comment avez-vous connu Crédal ?
J’ai connu Crédal comme employé de banque. A l’époque, je ne pouvais pas honorer toutes les demandes des associations qui s’adressaient à nous pour un crédit, car on touchait aux limites de la rentabilité. C’est là que j’ai perçu, chez Crédal, la pertinence d’un outil financier qui touche les populations et les associations qui n’entrent pas dans les critères des banques classiques. Crédal, c’est le chainon manquant, complémentaire, du financement.
Qu’est-ce qui vous a poussé à devenir coopérateur ?
C’est l’impact social et sociétal qui m’a convaincu ! A côté de mon métier, j’ai été actif dans des associations de parents, un centre pour personnes handicapées, le pouvoir organisateur d’une école… Quand est venue la question de placer de l’argent, je ne voulais pas uniquement lui donner un intérêt financier mais surtout du sens. Chez moi, c’est une façon d’être et d’agir pour répondre aux problèmes de société.
En tant que spécialiste de la finance, pour quelles raisons recommanderiez-vous de placer une partie de ses économies chez Crédal ?
Il faut d’abord se poser la question du sens : « Qu’est-ce que j’attends en retour de mon argent ? ». Ensuite, établir si on voudrait un retour financier, social ou les deux. En plaçant chez Crédal, on peut aider des personnes qui ne peuvent pas financer leurs besoins de base ou encore, qui veulent se lancer dans l’entrepreneuriat. Cela va donner des opportunités à une couche de la population en marge, qui n’entre pas dans les conditions des procédures classiques. Par ailleurs, Crédal est aussi une coopérative à la gestion rigoureuse et digne de confiance.
Que pensez-vous du dispositif investcoop.brussels* ?
Moi, j’en bénéficie depuis l’année dernière déjà ! J’étais curieux de voir comment cela allait se traduire sur ma déclaration d’impôts. Au final, la formule est sûre, efficiente, légère en paperasse… et elle permet d’avoir un taux intéressant !
* investcoop.brussels permet aux particuliers domiciliés en Région de Bruxelles-Capitale d’obtenir un crédit d’impôt de 3,5% par an pendant 5 ans à partir de 100€ placés chez Crédal.